Qu’est-ce que le réchauffement des adresses IP ? MAX Vidéo
Qu’est-ce que le réchauffement de l’adresse IP ?
Votre compte GetResponse MAX est équipé d’une ou plusieurs adresses IP d’envoi qui n’ont jamais été utilisées auparavant. Cela signifie qu’elles n’ont pas d’historique d’envoi.
L’échauffement de l’adresse IP est un processus au cours duquel l’IP gagne sa réputation auprès des fournisseurs d’accès à l’internet (FAI). Ces derniers doivent s’assurer que vous envoyez des courriels pertinents et autorisés avant de commencer à faire confiance à vos envois en masse pour les envoyer dans les dossiers de la boîte de réception.
Il en va de même pour le domaine d’envoi s’il n’a jamais été utilisé auparavant ou s’il n’a pas été “associé” à l’adresse IP en question auparavant.
Quand et pourquoi ai-je besoin d’un échauffement de l’IP ?
Les FAI (fournisseurs de services de boîte de réception, tels que Google, Yahoo, Microsoft) examinent toujours avec une certaine méfiance les messages provenant de nouvelles adresses IP. Ils veulent que tout expéditeur (quel que soit le type d’entreprise ou le contenu du message) démontre d’abord qu’il est légitime et qu’il respecte les règles anti-spam.
Un préchauffage de l’adresse IP est nécessaire, lorsque vous :
- commencez à travailler avec un nouvel ESP (fournisseur de services d’e-mail, comme GetResponse) sur une IP dédiée,
- reprenez l’envoi après une pause,
- commencez à envoyer des messages à partir d’une nouvelle adresse IP,
- commencez à utiliser un nouveau domaine d’envoi (même s’il est ajouté à une adresse IP déjà utilisée, il est recommandé de procéder à un préchauffage).
Remarque : le réchauffage du nouveau domaine d’envoi n’est pas une nécessité absolue, mais il peut être très utile pour votre délivrabilité, en particulier pour les boîtes de réception de Gmail et Yahoo. Il est généralement réalisé plus rapidement que l’échauffement des adresses IP. Les directives sont similaires : destinataires engagés, volume et fréquence constants, mais vous pouvez commencer par un volume plus élevé et l’augmenter un peu plus rapidement.
Si vous êtes en train de migrer d’un autre ESP et que vous ne prévoyez pas de changer votre domaine de de l’expéditeur, nous vous recommandons de prévoir une “période de transition” de 1 à 2 semaines, au cours de laquelle vous démarrez déjà le préchauffage du domaine chez GetResponse, tout en continuant à envoyer des messages à partir de votre ancien ESP. Cela aidera à l’échauffement du champ DE.
Pour réchauffer un nouveau champ DE, commencez par diviser les destinataires de votre message et envoyez à environ 90 % d’entre eux un message avec l’ancien champ DE, et à 10 % d’entre eux un message avec le nouveau champ DE. À chaque nouveau message, augmentez progressivement le ratio en faveur du nouveau champ.
Pourquoi faut-il que ce soit lent ?
Les spammeurs utilisent très souvent le même schéma : ils achètent un nouveau domaine et une nouvelle adresse IP et essaient d’envoyer en masse autant de messages que possible avant d’être bloqués.
Les FAI disposent d’algorithmes et de différents mécanismes antispam et de sécurité pour éviter cela. L’un d’entre eux consiste à mettre tout le monde en position neutre ou même en position de faible réputation d’expéditeur au début. Vous devez prouver que vous êtes un bon expéditeur, digne de confiance, et le moyen d’y parvenir est de réchauffer lentement et régulièrement votre IP, en montrant aux FAI que vous êtes prêt à respecter leurs règles.
Remarque : vous (en tant qu’expéditeur) n’avez pas de relation financière avec les FAI, qui n’ont donc – malheureusement – aucune obligation de distribuer 100 % de vos e-mails. La priorité absolue des FAI est toujours la sécurité de leurs propres clients : les propriétaires des boîtes de réception. C’est pourquoi ils sont plus susceptibles d’être surprotecteurs et de faire des rejets faussement positifs, jusqu’à ce que vous ayez prouvé à leurs algorithmes que vous êtes un expéditeur avec de bonnes intentions, une bonne liste et de bonnes pratiques de marketing par e-mail.
Pendant l’échauffement du compte, il est important de commencer par de faibles volumes et d’envoyer d’abord aux contacts les plus actifs afin de commencer à construire une solide réputation.
Pour ce faire, identifiez les personnes de votre liste qui se sont inscrites et engagées le plus récemment, et envoyez toujours vos messages à ces contacts en premier pendant la phase d’échauffement.
La croissance organique des listes est fortement recommandée car elle génère des abonnés réactifs et vérifiés, surtout si les inscriptions sont traitées en mode double inscription.
Nous vous conseillons vivement de respecter le programme d’échauffement. L’éviter peut entraîner de graves problèmes de délivrabilité et peut nuire à votre réputation pendant longtemps.
Caractéristiques clés d’un échauffement réussi :
- Patience : échauffez-vous lentement en augmentant progressivement la cadence, conformément à votre plan d’échauffement.
- Engagement : envoyez d’abord vos messages aux destinataires les plus actifs, qui sont les plus susceptibles de s’intéresser à vos messages en les ouvrant, en cliquant sur les liens, etc.
- Cohérence : respectez le plan d’échauffement, ne vous arrêtez pas et ne changez pas soudainement de volume au milieu de l’échauffement.
De nombreux FAI examinent le rapport entre le nombre de destinataires qui s’engagent dans les messages reçus et le nombre total de messages envoyés. Si vous envoyez des messages à vos contacts les plus engagés, ce ratio sera élevé. Les FAI remarquent ces bons résultats + voient que vous commencez doucement + voient que vous êtes cohérent = ils ne vous soupçonnent plus d’être un spammeur, ce qui signifie que vous pouvez maintenant envoyer plus de messages sans problèmes de délivrabilité.
Le plan ci-dessous devrait fonctionner pour la plupart des utilisateurs, mais il ne faut pas oublier que de nombreux facteurs peuvent influencer le processus d’échauffement. Votre Customer Experience Manager et l’Équipe de Délivrabilité vous aideront à surveiller les résultats et à agir en conséquence quant à d’éventuelles incohérences.
| Jour | Gmail | Yahoo (Yahoo, AOL, Verizon: enseble) | Microsoft (Hotmail, Outlook, Live: ensemble) | FAI polonais (Onet, Interia, WP: chacun séparément) | FAI français (Free, Laposte, Orange: chacun séparément) | Autre |
| 1 | 50 | 50 | 1000 | 1000 | 1000 | 500 |
| 2 | 100 | 100 | 1000 | 1120 | 1120 | 500 |
| 3 | 200 | 200 | 2000 | 1254 | 1254 | 2000 |
| 4 | 400 | 400 | 2000 | 1405 | 1405 | 2000 |
| 5 | 800 | 800 | 4000 | 1574 | 1574 | 5000 |
| 6 | 1600 | 1600 | 4000 | 1762 | 1762 | 5000 |
| 7 | 3200 | 3200 | 6000 | 1974 | 1974 | 10000 |
| 8 | 6400 | 6400 | 6000 | 2211 | 2211 | 10000 |
| 9 | 12000 | 12000 | 10000 | 2476 | 2476 | 10000 |
| 10 | 18000 | 18000 | 10000 | 2773 | 2773 | 25000 |
| 11 | 25000 | 25000 | 20000 | 3106 | 3106 | 25000 |
| 12 | 37500 | 37500 | 20000 | 3479 | 3479 | 25000 |
| 13 | 50000 | 50000 | 45000 | 3896 | 3896 | 50000 |
| 14 | 75000 | 75000 | 45000 | 4363 | 4363 | 50000 |
| 15 | 100000 | 100000 | 45000 | 4887 | 4887 | 50000 |
| 16 | 150000 | 150000 | 80000 | 5474 | 5474 | 100000 |
| 17 | 200000 | 200000 | 80000 | 6130 | 6130 | 100000 |
| 18 | 300000 | 300000 | 80000 | 6866 | 6866 | 100000 |
| 19 | 400000 | 400000 | 160000 | 7690 | 7690 | 200000 |
| 20 | 600000 | 600000 | 160000 | 8613 | 8613 | 200000 |
| 21 | 800000 | 800000 | 160000 | 9646 | 9646 | 200000 |
| 22 | 1200000 | 1200000 | 320000 | 10804 | 10804 | 400000 |
| 23 | 1600000 | 1600000 | 320000 | 12100 | 12100 | 400000 |
| 24 | 320000 | 13552 | 13552 | 400000 | ||
| 25 | 640000 | 15179 | 15179 | 800000 | ||
| 26 | 640000 | 17000 | 17000 | 800000 | ||
| 27 | 640000 | 19040 | 19040 | 800000 | ||
| 28 | 1300000 | 21325 | 21325 | 1600000 | ||
| 29 | 1300000 | 23884 | 23884 | |||
| 30 | 1300000 | 26750 | 26750 |
Comme vous pouvez le constater, le plan d’échauffement dépend également du fournisseur, de sorte que certaines parties de votre liste peuvent s’échauffer plus rapidement que d’autres. Il est nécessaire de se rappeler que chaque fournisseur de boîtes aux lettres a ses propres règles concernant la vitesse à laquelle il peut faire confiance à un expéditeur. Cela peut sembler une démarche supplémentaire, mais elle est payante, car vous finirez par obtenir de bien meilleurs résultats dans l’ensemble de la communauté Internet.
Remarque : Gmail s’appuie fortement sur son système d’apprentissage automatique. Il n’est pas aussi probable qu’il vous bloque dès le départ que d’autres FAI, mais s’il le fait, vous êtes dans le pétrin : il faut beaucoup de temps pour regagner sa réputation et une demande de radiation manuelle n’est pas envisageable avec lui. C’est pourquoi nous vous conseillons de commencer par un volume très faible d’adresses Gmail.
Plan « simplifié » alternatif si vous ne pouvez pas diviser votre liste par FAI :
| Jour | Volume pour tous les FAI |
| 1 | 200 |
| 2 | 250 |
| 3 | 500 |
| 4 | 1000 |
| 5 | 2000 |
| 6 | 4000 |
| 7 | 8000 |
| 8 | 16000 |
| 9 | 25000 |
| 10 | 35000 |
| 11 | 50000 |
| 12 | 75000 |
| 13 | 100000 |
| 14 | 150000 |
| 15 | 200000 |
| 16 | 250000 |
| 17 | 300000 |
| 18 | 400000 |
| 19 | 600000 |
| 20 | 800000 |
| 21 | 1000000 |
| 22 | 1200000 |
| 23 | 1500000 |
Le programme simplifié vous oblige à être encore plus vigilant, prêt à mettre à jour le programme si l’un des FAI ne semble pas l’apprécier. Il est plus difficile à dépanner, c’est pourquoi nous vous conseillons, dans la mesure du possible, d’utiliser plutôt le plan de répartition par fournisseur.
Remarque : n’oubliez pas que la fréquence est essentielle ici, vous devez respecter le calendrier et envoyer un message chaque jour. Il est important de ne pas faire de pauses soudaines, car cela peut perturber les algorithmes antispam des FAI et influencer négativement votre réputation d’expéditeur.
Comment préparer la liste ?
La meilleure façon de préparer votre liste avant l’envoi est de la segmenter. Vous devez la segmenter de manière à ce que les FAI l’apprécient, de manière à ce que les algorithmes de chaque FAI particulier captent beaucoup (autant que possible) d’engagement de la part des destinataires de vos messages. Idéalement, vous devriez utiliser deux critères pour la segmentation : l’engagement et les FAI.
Engagement
Le niveau d’engagement est basé sur les interactions des abonnés avec votre contenu (c’est-à-dire les messages). Selon la façon dont vous aviez l’habitude de gérer votre liste et les mesures historiques dont vous disposez, cela peut signifier différentes choses, cependant, l’idée principale est d’extraire les contacts les plus engagés possibles. Il peut s’agir de :
- Contacts ayant cliqué sur les liens au cours des 1 mois, 2 mois, 3 mois, etc. précédents.
- Contacts qui ont ouvert les messages au cours des 1 mois, 2 mois, 3 mois, etc. précédents.
Remarque : les clics sont récemment devenus une mesure beaucoup plus fiable, notamment en raison de l’introduction par Apple de sa nouvelle politique en matière de protection de la vie privée. Nous vous recommandons vivement d’accorder plus d’attention aux clics qu’aux ouvertures.
Exemple : si vous disposez de données sur les clics, vous pouvez commencer votre échauffement en envoyant le groupe de contacts qui ont cliqué sur les liens au cours du dernier mois, puis ajouter les cliqueurs de deux mois supplémentaires, puis inclure les contacts qui ont ouvert les messages au cours des trois derniers mois, puis au cours de la moitié de l’année, etc.
Si les données sur les clics ne sont pas disponibles, ou si le nombre de ces contacts est beaucoup trop faible, vous pouvez commencer par les données dont vous disposez, par exemple, les contacts qui ont ouvert le mois dernier, puis ajouter les contacts de 2 mois, 3 mois, 6 mois, etc.
Le réchauffement devient particulièrement dangereux si les données d’engagement dont vous disposez datent de plus d’un an. Dans ce cas, vous devez vérifier votre liste avec un outil tiers et démarrer le réchauffement à partir des abonnés les plus récents.
FAI
Après avoir créé les segments “les plus engagés” de votre liste, il est fortement recommandé de segmenter également votre liste en fonction des FAI (domaines) tels que Google (Gmail), Yahoo/AOL, Microsoft (Hotmail, Outlook, Live), les adresses électroniques professionnelles et d’autres domaines.
Il est possible de réchauffer une IP sans cela, mais segmenter une liste de cette manière vous aidera à suivre le volume envoyé à des FAI particuliers et à réagir rapidement en cas de blocages ou de problèmes de délivrabilité avec l’un d’entre eux.
Que dois-je envoyer ?
Pour un échauffement réussi, il est essentiel de créer des messages appropriés. L’objectif principal ici est de générer autant d’interactions que possible : ouvertures, clics et réponses (elles sont également bénéfiques pour votre échauffement IP). Par conséquent, les messages doivent être voulus, avoir un contenu de qualité et un appel à l’action fort (mais pas imposant !).
En même temps, le message doit être “sûr” aux yeux des filtres anti-spam, c’est-à-dire qu’il ne doit pas être surchargé de liens et de mots de spam. Il doit également présenter un bon rapport texte/image.
Une bonne idée est de vérifier vos précédentes communications avec les clients, de trouver les campagnes les plus réussies et de baser vos courriels d’échauffement sur celles-ci.
Si vous êtes certain que vos pages d’inscription sont correctement sécurisées et que le trafic qu’elles génèrent est d’excellente qualité (ce qui signifie que les nouveaux contacts qui se retrouvent sur votre liste sont très engagés), vous pouvez également leur envoyer des messages de bienvenue pendant la phase d’échauffement, mais gardez un œil sur les chiffres.
Pendant l’échauffement : surveiller et agir
Une fois le programme d’échauffement préparé et les premiers messages envoyés, que faites-vous maintenant ? Vous devez suivre vos résultats de près, jour après jour et après chaque envoi.
Il faut s’attendre à des blocages
Au début, vous pouvez certainement vous attendre à ce que certains domaines soient bloqués et/ou à ce que certains spams soient placés. Cela est dû à la nature complexe du processus d’échauffement : il faut du temps pour qu’un expéditeur et les filtres anti-spam des FAI apprennent à se connaître et deviennent “amis”.
Il n’y a pratiquement jamais d’échauffement sans blocages, mais tant que vous surveillez vos paramètres et que vous réagissez à temps, tous ces problèmes se résoudront rapidement.
Que faire en cas de blocage ?
En ce qui concerne le placement des spams, la meilleure façon de montrer aux filtres des FAI qu’ils ont placé par erreur ce message dans ce dossier est de faire sortir les messages des spams et de les placer dans votre boîte de réception, en ajoutant l’expéditeur à vos contacts ou à une liste blanche d’expéditeurs sûrs.
C’est précisément la raison pour laquelle vous devez commencer par les segments les plus engagés : si le message est souhaité, il y a beaucoup plus de chances que les abonnés le recherchent dans leur boîte de réception et retournent dans le dossier principal.
Si le problème de spam prend de l’ampleur, vérifiez à nouveau le contenu des messages, assurez-vous que les liens sont sécurisés et que leur nombre n’est pas excessif, vérifiez que le contenu du message ne contient pas de mots de spam, vérifiez le rapport texte/image. Revoyez également le groupe de destinataires.
Si vous constatez qu’un FAI a commencé à bloquer ou à retarder vos messages, ne paniquez pas : avec votre Customer Experience Manager et avec l’aide de l’Équipe de Délivrabilité, vérifiez les journaux de rebond que vous recevez.
Pour la plupart d’entre eux, la bonne marche à suivre consistera à poursuivre l’envoi, mais à ne pas augmenter le volume envoyé à ce domaine pendant un certain temps. Vous serez en mesure d’atteindre le volume IP souhaité, mais ce sera un peu plus tard. Il se peut que vous deviez réduire le volume, mais dans ce cas, il est également important de ne pas arrêter complètement les envois. La constance est essentielle ici, et une interruption soudaine et prolongée peut perturber encore plus les FAI.
Certains rebonds peuvent indiquer des problèmes plus graves que l’Équipe de Délivrabilité devra résoudre directement avec les fournisseurs ou qui vous obligeront à revoir vos pratiques en matière d’hygiène des listes.
Autres types d’indicateurs à prendre en compte
- Taux de clics – plus ils sont élevés, mieux c’est. Ils peuvent varier considérablement en fonction de votre type d’activité. Assurez-vous qu’ils sont similaires aux niveaux que vous avez atteints précédemment et surveillez toute augmentation ou diminution rapide.
- Taux d’ouverture – les taux d’ouverture faibles doivent être étudiés, ils peuvent être le signe d’un placement de spam.
Remarque : Bien que les taux d’ouverture varient considérablement en fonction du type d’entreprise, les spécialistes du marketing considéraient auparavant qu’atteindre un taux d’ouverture unique d’environ 20 % était un bon résultat. Aujourd’hui, avec l’introduction du MPP d’Apple, les taux d’ouverture ne sont plus un aussi bon indicateur qu’auparavant et sont devenus très peu fiables. Nous vous conseillons d’accorder plus d’attention aux clics, aux conversions, aux achats, etc. Pour en savoir plus sur le MPP d’Apple et son influence sur vos statistiques d’envoi, cliquez ici.
- Plaintes – le ratio plaintes/envois (par domaine) doit être inférieur à 0,1 %. Idéalement, il devrait être très proche de 0 au début de l’échauffement.
- Rebonds durs – plus ils sont faibles, mieux c’est. S’il y en a plus de 2 à 3 %, il y a probablement un problème avec vos données. Tout comme pour les plaintes, au début de l’échauffement, vous devriez viser un taux de rebonds durs proche de 0.
- Pièges à spam – les pièges à spam sont des adresses électroniques utilisées par les FAI et les fournisseurs de sécurité pour “piéger” les expéditeurs ayant de mauvaises pratiques d’acquisition ou d’hygiène en matière de listes. Ces adresses ne devraient pas figurer sur votre liste d’adresses électroniques et indiquent toujours une mauvaise pratique en matière d’acquisition de listes, ce qui peut conduire à un échauffement infructueux. Votre Customer Experience Manager ou nos spécialistes de la délivrabilité peuvent vérifier cela pour vous.